2014/02/21

Ça s'appelle : la dépendance au jeu !


La forme du temps


Dans l'éventualité ou le temps existe (ce qui n'est pas prouvé ni prouvable), si on veut imager son existence, d'après-moi, il peut avoir les formes suivantes :
  1. Y a-t-il des failles dans le temps : le temps peut-il avancer puis s'arrêter puis repartir ? Par exemple, la mort serait-elle un point de jonction entre 2 temps différents qui se succèdent mais qui est toujours le même temps, par exemple la même vie ?
  2. Le temps va-t-il toujours vers l'avant : le temps n'a-t-il qu'un sens et que nous n'avons pas le choix de le suivre et qu'il avance sans arrêt ?
  3. Le temps peut-il reculer : le temps peut-il aller vers l'avant et ensuite revenir sur ses pas suite à certaines circonstances ? Ce qu'on croit être le passé et ensuite l'avenir peut-il être le futur et ensuite le passé, est-ce impossible ?
  4. Le temps fait-il des mouvements de va-et-vient de façon choatique : le temps est-il influencé par une force extérieure qui fait qu'il avance mais doit s'adapter à l'espace ou à un inconnu qui lui demande de revoir ces positions et ensuite se remettre en marche avant ?
  5. Le temps est-il cyclique : y a-t-il un cycle dans l'univers tel les cycles dans la nature des saisons ou les formes d'ondes, par exemple ?
  6. Le temps n'est-il toujours que le présent sans passé ni futur : si le temps n'existe pas, il n'y a ni passé ni futur, que du présent. Mais s'il existe, le temps serait-il une façon humaine de voir l'Univers qui a été inventée pour expliquer la raison d'être du mouvement (dans un mouvement, il y a toujours l'avant mouvement, le mouvement et l'après mouvement ) ?
  7. Le temps est-il un cycle perpétuel de recommencement : ce qui expliquerait que l'Univers n'a ni début ni fin ? C'est le mouvement perpétuel tant recherché ?

Phénomème paranormal...


Citation et Proverbe


Citation du jour
« Puisse mon mental être aussi beau que l'aurore. Puisse mon cœur être aussi paisible que le couchant. » Sri Chinmoy

Proverbe du jour
« Les difficultés ne sont pas faites pour abattre mais pour être abattues.» Proverbe inconnu

Mon interprétation du monde : La vie comme une graine (partie 10 de 17)


La vie comme une graine (partie 10 de 17)
Pour en revenir après notre mort, je pense que nous nous désintégrons dans la terre en petite partie mais comme la graine qui attend de germer au printemps (dans le fond c’est ce que nous sommes à l’origine, des graines provenant d’un ovule et de spermatozoïdes) nous demeurons en vie mais évidemment sans conscience car nous n’avons plus le support du corps pour nous rappeler de l’instant passé. Revenu à la terre, nous retournons dans la chaîne alimentaire (terre mangée par un verre de terre, mangé par un oiseau qui meurent dans la nature alimentant des herbes mangées par des animaux mangées à leur tour par des êtres humains; ou encore la terre devenant molécule et minéraux pour des légumes mangés par des êtres humains) pour potentiellement revenir dans le corps d’un être humain et en revenant en vie du moins dans la forme de vie que nous sommes habitués à concevoir. C’est pour cette raison qu’il est si important de conserver la chaîne alimentaire naturelle. Nous ne nous souvenons cependant jamais de notre vie antérieure car pour cela la mémoire serait requise et le support de la mémoire (le cerveau) ne suit pas les molécules de vie d’une vie à l’autre. Entre notre mort et notre prochaine forme de vie (humaine, animale, minérale, …) il n’y a aucune conscience comme nous la concevons humainement parlant. Il n’y a que du présent sans souvenance du passé et sans déduction sur un futur possible.


(À suivre...)

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Mon interprétation du monde : Les petites morts (partie 9 de 17)


Les petites morts (partie 9 de 17)
Nous avons tout en nous pour nous satisfaire. Nous ne devrions avoir que faire de ces multiples petites morts, ces deuils, ces séparations, ces attachements à tout ce qui nous est extérieur (biens, être humain, état d’être). Nous devons rechercher la vacuité (vide, absence de désir  et de tentations impropre à notre raison au niveau du mental seulement donc qui ne sont pas la réalité des choses) pour que nous nous retrouvions avec nous-mêmes. Les vraies sages sont en paix car ils ne regrettent ni les morts ni les vivants ni les choses qui de toutes façons ne nous ont jamais appartenu. Nous sommes le problème et nous sommes la solution ou plutôt nous sommes la situation et son dénouement. Personne d’autre ne peut prendre place dans notre corps ni dans notre esprit. Même si on n’arrive pas à se connaître vraiment, nous sommes malgré tout le seul à pouvoir juger de nos actes et notre philosophie de la vie. Nous naissons seul et nous mourrons seul.


(À suivre...)

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