2014/01/18

Comment nous sommes manipulés !


Vous croyez que le gouvernement veut votre bien ? Vous croyez que les médias sont uniquement informatif ? Vous croyez réellement à la démocratie ? Ces moyens de manipulation valent pour les gouvernements...la publicité...nos amis...votre conjoint...vos enfants... les vendeurs...enfin tout ceux qui ont quelque chose à vous demander. Ils le font dans certains cas inconsciemment et dans d'autres cas avec préméditation et une précision chirurgicale de mauvaises douteuses intentions ! 


  • La stratégie de la distractionDétourner l’attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites grâce à un déluge continuel de distractions et d’informations insignifiantes. Cela empêche le public de s’intéresser aux connaissances essentielles en problème comme l’économie par exemple. Il faut garder le public très occupé sans aucun temps pour penser.
  • Créer des problèmes, puis offrir des solutionsLa stratégie s'appelle aussi « problème-réaction-solution ». On crée d’abord un problème, une situation prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu’on souhaite lui faire accepter. Par exemple : laisser se développer la violence urbaine, ou organiser des attentats sanglants, afin que le public soit demandeur de lois sécuritaires au détriment de la liberté. Ou encore : créer une crise économique pour faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux. Le but est de créer un climat de PEUR.
  • La stratégie de la dégradationPour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de l’appliquer progressivement. C’est de cette façon que des conditions socio-économiques radicalement nouvelles ont été imposées durant les années 1980 à 1990. Chômage massif, précarité, flexibilité, délocalisations, salaires n’assurant plus un revenu décent, autant de changements qui auraient provoqué une révolution s’ils avaient été appliqués brutalement.
  • La stratégie du différéPrésenter une décision impopulaire comme « douloureuse mais nécessaire », en obtenant l’accord du public dans le présent pour une application dans le futur. Il est toujours plus facile d’accepter un sacrifice futur qu’un sacrifice immédiat. D'abord parce que l’effort n’est pas à fournir tout de suite. Ensuite parce que le public a toujours tendance à espérer naïvement que « tout ira mieux demain » et que le sacrifice demandé pourra être évité. Enfin, cela laisse du temps au public pour s’habituer à l’idée du changement et l’accepter facilement avec résignation.
  • S’adresser au public comme à des enfants en bas âgeLa plupart des publicités destinées au grand public utilisent un discours, des arguments, des personnages, et un ton particulièrement infantilisant. Plus on cherchera à tromper le spectateur, plus on adoptera un ton infantilisant. Si on s’adresse à une personne comme si elle était âgée de 12 ans, alors, en raison de la suggestibilité, elle aura, avec une certaine probabilité, une réponse ou une réaction aussi dénuée de sens critique que celles d’une personne de 12 ans. 
  • Faire appel à l’émotionnel plutôt qu’à la réflexionFaire appel à l’émotionnel pour court-circuiter l’analyse rationnelle, et donc le sens critique des individus. Cela permet d’ouvrir la porte d’accès à l’inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements…
  • Maintenir le public dans l’ignorance et la bêtiseFaire en sorte que le public soit incapable de comprendre les technologies et les méthodes utilisées pour son contrôle et son esclavage. 
  • Encourager le public à se complaire dans la médiocritéEncourager le public à trouver « cool » le fait d’être bête, vulgaire, et inculte. Étant eux-mêmes non vertueux, ils seront moins enclin à se plaindre des comportements des politiciens par exemple, les citoyens seront aussi pire qu'eux et autant coupables donc conciliants.
  • Remplacer la révolte par la culpabilitéFaire croire à l’individu qu’il est seul responsable de son malheur, à cause de l’insuffisance de son intelligence, de ses capacités, ou de ses efforts. Ainsi, au lieu de se révolter contre le système économique, l’individu s’auto évalue et culpabilise, ce qui engendre un état dépressif dont l’un des effets est l’inhibition de l’action. Et sans action, pas de révolution !

Conclusion
Maintenant, prenons du recul, comprenons bien toutes les manœuvres utilisées par le pouvoir pour nous manipuler et agissons en conséquence. 

La vie est si courte et parfois si longue…


Il est seulement dommage que l’on puisse apprécier la vie seulement lorsque la mort nous empoigne par le collet. Et ceci est vrai pour au plus illustre comme au plus inconnu. Dommage aussi que l’histoire des animaux soit composée de millénaires d’évolution alors que celui des hommes ne l’est que de quelques siècles à peine.

Dans le fond, la vie n’est ni courte et ni longue et elle serait davantage bien proportionnée si de ce temps nous n’en perdions pas l’essentiel. Dans le fond, elle est juste bien longue si bien employée. Mais que faisons nous de ce temps qui nous ait allouée : certain accumule de l’argent sans arrêt, d’autre se prélasse au soleil plus qu’il n’en faut pour bien se porter et sans but précis, d’autres sont serviteurs du travail alors que celui-ci est l’ancienne forme de l’esclavage et du sacrifice,  d’autre par le pouvoir cherche à imposer leur idées, d’autre encore cherche à réussir dans leur vie en la perdant à la gagner. Finalement, la majeure partie de notre vie nous ne la vivons pas, nous ne faisons que regarder plus ou moins activement ou avec mauvais jugement le temps passé abandonné dans des soi-disant passions justifiables. Peu de nous vivons pour nous-mêmes mais remorquons ou sommes à la remorque d’un autre même pour des raisons louables.

Il est curieux de voir que la somme d’argent que chacun a reste strictement confidentiel à son propriétaire alors que tous et chacun de nous dilapidons à tout vent notre vie privée. Comme l’expliquait certains philosophes si de la vie on enlève le temps perdu à des querelles et des démarches inutiles de marchandage, que l’on ajoute les maladies dues à nos excès et que l’on ajoute le temps perdu dans l’inaction, on verra que notre âge ne reflète pas le temps réellement de qualité que nous avons utilisé par rapport à ce qui nous était alloué. On vit comme si nous vivions pour l’éternité (?!). Nous planifions notre vie comme si c’était nous qui en étions le maître-décideur.  Les hommes sont fous de commencer à vivre éloigné en âge alors que plusieurs d’entre-nous n’y parvenons même pas ou au mieux dans un piteux état.

Citation et Proverbe


Citation du jour
« L'homme est fait pour rêver, c'est-à-dire pour combattre et non subir. Et surtout, l'homme est fait pour la poésie. Or, l'utopie est poétique. Et la poésie aura toujours raison contre le réalisme.  » Citation russe

Proverbe du jour
« On ne peut admirer en même temps la lune, la neige et les fleurs. » Proverbe japonais

Qu’est-ce que la mort ?

La mort n'est pas une fin en soi. C'est un changement d'état ou un moment entre 2 états. 

C'est du moins de que j'en conclue d'après une expérience faite par un groupe de personnes. Un rat est mort dans la nature. Son corps a servi de repas à beaucoup d'insectes et autres prédateurs. Tout ce qui est resté de l'animal sont les os et les poils non digestibles (pourquoi ?). Au même endroit exactement où était placé les restes, de belles herbes sont poussés. Il n'y avait aucune herbe de ce style aux alentours. Donc les herbes étaient vraiment le résultat de ce corps décomposés. Toute composante sert donc à d'autre composante. L'énergie étant faite de composantes de base, il en va ainsi de notre âme qui sert d'aliments de base à autre chose. 

Autre élément intéressant aussi, il y a un minuscule moment ou nous sommes vivant (dans notre conception de la vie évidemment) et celui ou nous sommes mort (dans notre conception de la mort évidemment) lorsque nous sommes en train de mourir. Quel est cet instant où nous ne sommes ni entièrement vivant ni encore mort ? Lorsque nous entrons dans le processus de la mort, comment le corps ou quoique ce soit d’autres, sait qu’un processus de mort doit s’enclencher ? Qu’est-ce qui arrive aussi quand le processus est enclenché et que par un miracle (???) nous revenons à la vie soit dans notre état précédent : pouvons-nous nous retrouver vivant et une autre partie de nous est dans l’état suivant de mort ? Avons-nous conscience de tout ceci au moment ou cela se produit ? Avons-nous une mémoire pour nous rappeler de ce qui nous est arrivé ou sommes-nous dans un présent constant ? C’est peut-être ça la mort, être dans un présent constant puisque le temps n’existe plus ?

De tout ce qui s'est créé au départ de l'Univers, rien ne se perd, tout se transforme même s'il faut oublier le concept de forme trop relié à la façon matérielle "standard" de voir les choses. La mort est simplement lorsque nous quittons ce monde matériel pour y revenir ou pour le quitter définitivement. Le passage de l'état de l'un à l'autre est immédiat car on ne peut être vivant et mort à la fois, c'est logiquement impossible. Donc, nous ne serons jamais conscient que nous sommes morts lorsque nous le serons car la conscience (en terme d'être vivant) est propre à la vie et à la mémoire qui nous aura quitté. Le corps est l’endroit où siège notre conscience. Si le corps n’est plus, la conscience peut maintenant s’objectiver.

Ce n'est pas la mort qui est mystérieuse, c'est la vie ! Et ceux qui s'attendent à un paradis après leur mort ne seront pas déçus ; parce que pour être déçu, il faut être en vie ! Il n’y a qu’une façon de venir au monde mais des milliers de façons de mourir !

Peut-être la mort n’est-elle pas si désagréable tout de même car comme lors d’un repas, on garde le meilleur toujours pour la fin !!!

Avons-nous un 6ème sens intérieur ?


Le corps humain dans sa définition matérielle comporte 5 sens : l'ouïe, l'odorat, le goût, le toucher, la vue. Tous ces sens sont orientés dans le même but soit de nous faire percevoir les choses extérieures dans notre intérieur. Par contre, lorsque l'on dort, on peut percevoir toutes les choses de la vie matérielle sans qu'elle existe vraiment. En rêve, nous nous pensons vraiment dans le réel. Donc, nous sommes capable de percevoir des choses sans qu'elles existent vraiment.

Qu'arriverait-il (en supposant cela possible) s'il nous arrivait de rêver et d'être éveillé en même temps ? Saurions-nous capable de distinguer l'un de l'autre ? Peut-être est-ce possible dans la méditation où il est possible d'oublier son état physique même si c'est momentané ou dans un temps relativement long mais tout de même limité ?

Existent-ils des sens, un 6ème ou plus, qui nous ferait ressentir les choses que nous avons à l'intérieur ou encore les choses qui ne sont pas du domaine du "sacro-saint" matériel et son non visible à nos sens actuels mais qui existe bien quelque part ?