2014/02/21

Mon interprétation du monde : Les petites morts (partie 9 de 17)


Les petites morts (partie 9 de 17)
Nous avons tout en nous pour nous satisfaire. Nous ne devrions avoir que faire de ces multiples petites morts, ces deuils, ces séparations, ces attachements à tout ce qui nous est extérieur (biens, être humain, état d’être). Nous devons rechercher la vacuité (vide, absence de désir  et de tentations impropre à notre raison au niveau du mental seulement donc qui ne sont pas la réalité des choses) pour que nous nous retrouvions avec nous-mêmes. Les vraies sages sont en paix car ils ne regrettent ni les morts ni les vivants ni les choses qui de toutes façons ne nous ont jamais appartenu. Nous sommes le problème et nous sommes la solution ou plutôt nous sommes la situation et son dénouement. Personne d’autre ne peut prendre place dans notre corps ni dans notre esprit. Même si on n’arrive pas à se connaître vraiment, nous sommes malgré tout le seul à pouvoir juger de nos actes et notre philosophie de la vie. Nous naissons seul et nous mourrons seul.


(À suivre...)

Lien vers la partie 8 de 17 Lien

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