Ce terme provient de ces analyses lors de relations sexuelles humaines au niveau énergie (jeu de mots avec orgasme et organique).
Ces expériences portaient sur la bioélectricité des émotions. Sa théorie, même si non approuvée scientifiquement, lui a fait extrapoler ce principe à tout ce qui existait : le comportement cellulaire, l’univers, l’attraction entre des êtres humains. Cette conclusion lui vient des résultats du pouvoir électrique qui se modifie lorsqu’il analyse les réactions humaines. À la base, il mettait en doute cette énergie électrique comme étant d’une toute autre composition. Cette énergie serait le médium qui communiquerait émotion et perception, à travers lequel nous serions connectés au cosmos et mis en parenté avec tout ce qui est vivant.
Toute la "matière" serait gérée par cette énergie. Une telle énergie expliquerait bien des situations pour le moins non compréhensible scientifiquement, par exemple, cette énergie que l’on identifie difficilement :
- serait autant dans les êtres animés que non animés
- est une énergie non électrique permettant à des substances non conductrices d’en être tout de même pourvu
- constituerait non seulement notre cerveau ou certaines cellules mais le corps en entier de toute chose
- expliquerait comment la vie a pu être créé en partant de quelque chose d’inanimée à la base
- expliquerait la symétrie dans le développement des choses et des êtres.
D’après lui aussi, cette énergie expliquerait par exemple la raison du développement en spirale du soleil et des planètes ou ces orbites auraient pour origine cette énergie plus qu’un phénomène d’attraction d’après les lois de la physique.
Je pense aussi que la faiblesse de la force de cette énergie même si elle existait ne serait peut-être pas possible à être détectée par nos instruments. Elle n’en serait pas moins existante et explicative ou tout au moins mystérieuse expliquant la cohérence et le fonctionnement de tout ce qui existe dans notre univers en passant par l’origine de nos pensées.
Malheureusement non prouvé, il attribuait à un traitement du cancer sa théorie. On attribuait aussi ses dires à ceux de la théorie du moyen-âge de la Génération spontanée ou des choses ou des êtres pouvaient exister subitement sans précédent, c-à-d., un effet sans cause.
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