L’histoire c’est, par définition, tout ce qui
s’est passé dans le passé. Cela semble être une évidence… mais Non ! Ce que je
veux dire est que ce qui est bien est que nous pouvons apprendre tellement de
choses de l’histoire du passé, c’est incroyable. Mais notre jeunesse ou notre
égo nous empêche d’en profiter. À supposons, je dis bien supposons, que nous
soyons capable de faire fit de cet égo. Avez-vous une idée à quel point notre
vision des choses et notre vie même de tous les jours peut en être modifiée ?
Moi-même, j’ai peine à le croire à quel point c’est vrai.
Le malheur, s’il en est un, est que l’histoire,
ou plutôt ce qu’on en retient, est toujours, malheureusement, la version du
vainqueur de celle-ci. Rare est la situation ou le vaincu nous enseigne ce
qu’il faut en retenir de positif. Pourquoi est-ce ainsi ? Je ne sais pas ou
plutôt c’est évident que le vainqueur aura toujours plus d’hardiesse à se
raconter que celui qui a eu la gorge tranchée !
Sachant que c’est toujours le vainqueur qui raconte,
il faut comprendre donc que l’histoire qui nous reste n’est pas la bonne
version mais celle qui vantera les ardeurs du vainqueur et noircira celle du
vaincu. Ceci est d’une gravité éhontée !
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